Note de l'auteur tombée bien bas.
Bon.
Là c'est juste pas possible.
J'ai failli y passer.
Vous êtes trop, trop... trop quoi!
En faux dans le tube,
en vrai dans la bal,
c'est trop pour une seule femme,
même planquée dans sa boîte.
Du coup j'en ai perdu tous mes mots, ma tête et tout le reste.
Faut que je me pose
et après je reviens,
pour vous remercier une à une.
Là je dis rien j'ai trop peur d'en oublier.
Je vous embrasse très très très très fort
et je vous dis à bientôt,
pour plus de détails,
dès que je suis présentable.
Merci du fond finfonds tout au fond de mon pauvre petit coeur.
Je vous adore.
Et mille pardons de ne pas faire de réponses individuelles, mais promis juré ça viendra.
Je me donne un an...
Bon c'est pas tout ça mais quand même on est credi.
Ce fauteuil là ne lui dit rien qui vaille,
bien trop moelleux pour être honnête,
sans compter qu'il est si bas
qu'une fois enfoncé dedans
il doit être impossible d'en sortir,
à moins d'un effort surhumain...
Lui il préfère les chaises frustes,
qui vous tiennent bien raides comme à la messe du dimanche,
de celles qui poussent des grincements
à vous fendre le coeur quand on s'y pose,
à se demander si elles sont vraiment faites pour ça,
du coup vous osez à peine y poser un bout de fesse,
pour ne pas déranger...
Ou alors les chaises légères,
de celles qu'on soulève avec deux doigts,
qu'on peut sortir au clair de lune sur le pas de la porte,
pour discuter sous les étoiles...
Mais ce fauteuil là,
si gras,
si bourgeois,
débordant de mollesse,
c'est décidé,
pour rien au monde il ne s'y assiera.